Les Mystères joyeux du chapelet te permettent de méditer sur l’incarnation (naissance) de Jésus et la joie qu’il apporte aux hommes. Dieu s’est fait homme et il est venu au milieu de nous, pour nous apporter paix et joie.
En effet, ces mystères commencent par l’annonce fait à la Vierge Marie par l’Ange Gabriel, de ce qu’elle va concevoir le Messie, et se termine avec le recouvrement de Jésus au temple, où il est rapporté que Jésus grandissait en Âge et Sagesse.
Comme tous les autres mystères du chapelet, il y a cinq mystères joyeux.
Les cinq Mystères JOYEUX du Chapelet sont récités généralement les lundis et samedi, mais tu peux le faire tout autre jour selon ta convenance.
Voici quelques grâces que tu obtiens en priant ces mystères :
Une profonde humilité de cœur.
Une parfaite charité pour le prochain
Le détachement des biens du monde, l’amour des pauvres.
Le don de la sagesse et la pureté de cœur et de corps
La recherche de Dieu en toutes choses
À chaque mystère, tu peux introduire tes intentions personnelles. Ce qu’il y a ici, n’est qu’un canevas qui peut être modifié.
Si tu ne le sais pas, voici comment prier le chapelet.
Premier Mystère Joyeux : L’Annonciation
Fruit du mystère : l’humilité
Marie répondit à l’Ange : « Voici la servante du Seigneur » (Lc 1,38).
« Nous ne sommes aux yeux de Dieu que ce que nous sommes : ni plus, ni moins. Nous ne devons nous occuper qu’à lui être agréables. Tout notre mérite est de coopérer à la grâce. »
Seigneur, par Marie, éveille dans le cœur des jeunes le désir de te suivre avec confiance sur le chemin du sacerdoce, du mariage ou de la vie consacrée
Facultatif (version avancée)
Lorsque nous souhaitons méditer sur l’humilité, ne cherchons point à le faire dans l’esprit des pharisiens et des docteurs de la loi, mais sachons redevenir des petits enfants et ouvrir notre cœur tout grand au Seigneur.
Quelle magnifique vertu que cette humilité dont notre Sainte Mère a été privilégiée durant toute Sa vie ! Pour la mieux comprendre, tournons-nous vers la Vierge de l’Annonciation, Celle qui sut accueillir dans Son Cœur sans tache la Parole de Dieu et la cultiver dans la discrétion et l’amour le plus pur.
Savons-nous, nous aussi, l’accueillir, cette Parole, et la faire nôtre ? Savons-nous être humbles face à nous-mêmes et ne pas toujours nous prendre pour quelqu’un de bien, ou quelqu’un d’un peu mieux que les autres physiquement, socialement, intellectuellement ? Savons-nous reconnaître nos propres faiblesses, et en particulier celles qui nous choquent si souvent chez les autres mais que nous avons tant de mal à déceler chez nous ? Savons-nous enfin avoir l’humilité d’en demander pardon à Dieu et à notre prochain ?
Par nature, l’homme est chaque jour porté à se mettre en avant, à se faire admirer, à se faire aimer ; et combien d’artifices n’hésite-t-il pas à utiliser pour parvenir à ses fins.
Dans cette société où les apparences l’emportent sur la vérité, comme il est difficile, Seigneur, de rester humbles ! Chacun y étale, en effet, ses atouts, plus ou moins mis en valeur par un savant maquillage… Mais Vous, Seigneur, qui savez débarrasser notre âme de cette couche de lustre, apprenez-nous à voir clair en nous-mêmes comme Vous voyez clair en nous, et à reconnaître notre toute petitesse.
Si nous possédons la beauté, la richesse, l’intelligence ou quelque autre vertu qui charme tant le monde, apprenez-nous non pas à les étaler à ses yeux afin de susciter l’envie ou la convoitise, mais à les porter avec humilité jusqu’au pied de Votre Croix et à les faire fructifier à l’école de Vos Commandements, afin d’aider nos frères humains à vivre saintement et à Vous mieux connaître.
N’oublions pas non plus, Seigneur, de Vous remercier pour toutes les vertus dont Vous nous avez comblés. Et si, parfois, nous avons tendance à oublier ingratement Votre bonté, ouvrez plus grand nos yeux sur les misères du monde, afin que nous apercevions combien d’hommes, de femmes et d’enfants sont plus malheureux que nous.
Alors, Seigneur, donnez-nous l’humilité ! Donnez-nous cette vertu qui a habité le Cœur de Votre Sainte Mère, cette vertu qui nous permettra de nous regarder avec lucidité et de lire tristement dans notre âme meurtrie toute la peine qu’elle Vous fait en péchant par orgueil.
1 Notre Père + 10 Je vous salue Marie + Gloire soit au Père.
Deuxième Mystère Joyeux : La Visitation
Fruit du mystère : l’amour du prochain
Élisabeth s’écria : « Bienheureuse celle qui a cru ! » (Lc 1,45).
« Un bon chrétien qui aime Dieu et le prochain, voyez comme il est heureux ! Quelle paix dans son âme ! Que ceux qui aiment le bon Dieu sont heureux et aussi ceux qui sont autour d’eux. »
Seigneur, par Marie, suscite au cœur du monde des personnes rayonnantes de charité.
Facultatif (version avancée)
Parce qu’Elle possède la vertu d’humilité, Marie est choisie par Dieu pour devenir le Réceptacle de Son Amour, cet Amour qui, toujours discret, va transparaître à chaque moment de Son auguste vie. Marie accepte de concevoir le Sauveur pour Le donner au monde, et Son âme ravie chante les louanges de Dieu dans le Magnificat.
Savons-nous, nous aussi, accueillir les dons que Dieu nous fait pour les donner au monde ? Et s’il en est ainsi, savons-nous toujours donner au nom de Dieu, sans craindre de proclamer notre foi ? Savons-nous donner, certes, une assiettée de soupe ou faire l’aumône, mais aussi nourrir les âmes qui nous entourent de la Parole de Dieu ? Osons-nous parler de Dieu ?
Savons-nous, lorsque nous donnons, donner avec discernement et prendre garde de copier le monde qui, sous une apparence de prodigalité, abandonne entre les mains des enfants et des adolescents les armes de leur propre destruction à des doses souvent mortelles ?
Il est vrai que Dieu Lui-même nous a laissés libres, mais Il a cependant envoyé Son propre Fils pour nous éduquer et nous servir de Modèle. Si donc nous voulons vivre en chrétiens authentiques, restons à l’école de Son Enseignement et sachons transmettre celui-ci à nos enfants, avec une douce fermeté. Car la fermeté n’est point exclue du véritable amour, elle en est, au contraire, une composante essentielle.
Celui qui donne à l’enfant le couteau avec lequel il va se blesser ou blesser son frère porte une lourde responsabilité… Mais il est des blessures que les parents ne savent pas toujours voir lorsqu’ils concèdent à leurs enfants trop de libertés : ce sont les blessures qui empoisonnent leur âme, celles qui marquent leur esprit d’indélébiles séquelles, et que diffusent abondamment la presse et les médias.
Puisse donc l’Esprit Saint venir à notre secours, et notre volonté de faire le bien triompher des tentations !
Savons-nous, dans cette perspective, être un exemple pour les autres ? Voilà encore une façon de les aimer : en famille, au travail, dans les loisirs.
Savons-nous ne pas toujours soutenir que nous avons raison envers et contre tous ? Notre prochain n’a-t-il pas lui aussi son mot à dire ? N’a-t-il pas lui aussi une sensibilité qui lui est propre ?
Dans les différends, Seigneur, soyez toujours notre Arbitre. Faites entendre Votre Voix au fond de notre cœur afin que nous sachions, avec honnêteté, reconnaître nos torts et demander pardon.
Aimer les autres, ce n’est pas toujours satisfaire leurs désirs, bien au contraire ! C’est apporter Dieu où que nous soyons par notre rayonnement, notre pureté, notre charité, notre prière. C’est savoir dire « oui », même par sacrifice, pour agréer au Seigneur ; mais c’est aussi savoir dire ‘non’ à l’esprit du monde qui, au nom d’une liberté et d’un amour fallacieux, cherche à entraîner de plus en plus de chrétiens dans la contestation et la remise en cause des valeurs les plus nobles.
1 Notre Père + 10 Je vous salue Marie + Gloire soit au Père.
Troisième Mystère Joyeux : La naissance de Jésus
Fruit du mystère : la pauvreté du cœur (le détachement) et l’esprit d’adoration
L’Ange du Seigneur dit aux bergers : « Vous trouverez un nouveau-né couché dans une crèche » (Lc 2,12).
« Plus on se rend pauvre pour l’amour de Dieu, plus on est riche en réalité… Les pauvres et les amis des pauvres sont les amis de Dieu. »
Seigneur, par Marie, apprends-nous à accueillir les pauvres et à les servir avec joie.
Facultatif (version avancée)
Lorsqu’il est question de pauvreté, nous pensons à l’Enfant-Jésus couché dans une mangeoire, et aux hommes de cette terre qui sont les plus démunis…
L’état de pauvreté n’est-il pas, en effet, à mille lieues de l’esprit du monde, celui qui nous pousse, au moyen de l’argent, à satisfaire nos désirs matériels, même les plus déraisonnables ?
Mais l’homme qui, volontairement, se contente de peu et détourne son regard de la société de consommation pour le tourner vers le Seigneur ne peut craindre de faire fausse route. Car celui qui n’a d’yeux que pour les richesses de ce monde et de préoccupation que pour l’appât du gain ne peut servir deux maîtres à la fois : Dieu et l’argent (cf. Lc 16, 13).
De même, le pauvre qui ne rêve que de devenir riche de cette richesse matérielle qui si souvent détourne de Dieu ne saurait posséder le véritable esprit de pauvreté.
Être pauvre, c’est d’abord être humble : humble face à Dieu et humble face à son prochain.
Être pauvre, c’est reconnaître que tout ce que nous possédons, jusqu’à notre propre vie, ne nous appartient pas mais appartient à Dieu, et que nous avons le devoir d’en faire bon usage et de gérer les biens qui nous ont été confiés avec sagesse, respect et discernement.
Être pauvre, c’est se sentir bien ignorant des choses du Ciel, bien infirme de spiritualité, et demander l’aumône au Seigneur, Lui qui « comble de biens les affamés » (Lc 1, 53).
Être affamé de Dieu, c’est bien cela que le Seigneur attend de nous aujourd’hui. Se nourrir chaque jour de Sa Parole et de saines lectures spirituelles, se bien confesser avec sincérité et repentir, communier souvent à Son Corps et à Son Sang et s’imprégner totalement de Son Amour si pur et si grand. Se dépouiller de tout égoïsme, de tout esprit de rébellion, devenir véritablement pauvre pour L’accueillir Lui, le Seigneur, et ne plus faire qu’un avec Sa Volonté.
« Mais la foi ne peut plus se vivre comme cela ! » rétorqueront certains, « Il faut avoir les pieds sur terre ! ». Le Christ ne les a-t-Il pas eus, Lui qui a choisi de vivre la Passion pour nous sauver ? Alors n’écoutons pas ces paroles insensées : si nous choisissons de vivre de cette spiritualité-là, si nous laissons Jésus-Christ habiter totalement notre cœur, Il ne fera pas de nous des êtres fermés, en proie à un illuminisme douteux, mais Il nous donnera Son Esprit Saint pour nous aider à Le mieux servir à travers chacun de nos actes, chacune de nos paroles et chacune de nos pensées.
Il nous donnera de Son Amour pour nous aider à mieux aimer ; de Sa Miséricorde pour nous aider à mieux pardonner ; de Sa Pureté pour nous aider à mieux respecter toute créature vivante, à commencer par notre corps ; de Son Discernement pour nous ouvrir les yeux sur les pièges du Démon ; et enfin de Sa Force pour nous éloigner des tentations et nous aider à ne pas y succomber.
1 Notre Père + 10 Je vous salue Marie + Gloire soit au Père.
Quatrième Mystère Joyeux: La présentation de Jésus au temple
Fruit du mystère : l’obéissance et la pureté
« Syméon reçut l’Enfant Jésus dans ses bras et bénit Dieu » (Lc 2,28).
« Mes frères, ne sommes-nous pas bien plus heureux que Syméon ? Nous pouvons garder Jésus toujours, si nous voulons. Il ne vient pas seulement dans nos bras, mais dans notre cœur. »
Seigneur, par Marie, ouvre les enfants à une obéissance filiale et pleine d’amour envers leurs parents.
Facultatif (version avancée)
Nous sommes-nous demandés pourquoi l’homme du monde témoignait généralement autant de mépris pour ces deux vertus que nous devons chérir : l’obéissance et la pureté ?
Regardons autour de nous : nul ne peut nier que nous traversons des temps de rébellion contre la plus élémentaire morale et que bon nombre de chrétiens, séduits par ce courant empoisonné, commencent à manquer sérieusement de discernement.
L’homme qui pactise avec le monde se trouve en effet possédé par un esprit de révolte qui masque à son entendement le véritable sens du péché comme le sens du bien. Il confond volontairement « mal » et « souffrance » d’une part, « bien » et « bien-être » d’autre part, et il bannit le mot « péché » de sa bouche. En effet, pour lui, toute faute ne peut être que vénielle aux yeux d’un Dieu qui, quoi que l’on fasse, doit tout pardonner parce qu’Il est Amour. Éloignant ainsi toute forme de culpabilité de sa conscience, qu’il entraîne de jour en jour à une plus grande élasticité au nom de cet amour permissif fallacieux et d’une tolérance plus dangereuse encore, il exige une « liberté » totale où Dieu comme l’Église n’ont plus droit qu’à des places de spectateurs passifs.
Ce n’est plus Dieu qui décide, qui guide, qui conseille, ce n’est plus Sa Volonté qui est recherchée : c’est l’homme qui pense, qui s’exprime et qui agit comme il l’entend. C’est l’homme qui dispose de son corps et jouit de ses sens comme bon lui semble, sans se référer à une quelconque morale. C’est l’homme qui se permet de mettre en doute la Parole même de Dieu, l’authenticité des Écritures, les prophéties de l’Ancien Testament, les miracles de Jésus et la Présence Réelle dans l’Eucharistie. C’est l’homme qui n’accepte plus les sages consignes du Pape et qui crie, au nom de la « liberté », sa haine de l’obéissance, son horreur du respect, son mépris de la pureté. Tel est, selon lui, le « droit » à la différence…
Que des incroyants suivent de telles tendances, cela ne nous étonne guère. Mais lorsqu’elles sont le fait de chrétiens aveuglés par le monde, nous ne pouvons que nous en attrister et écouter de nouveau ces paroles de la Seconde Épître de saint Paul à Timothée qui nous disent bien clairement où est notre devoir et où est notre Dieu :
« Dans les derniers jours surviendront de mauvais moments. Les hommes, en effet, seront égoïstes, cupides, fanfarons, orgueilleux, blasphémateurs, rebelles à leurs parents, ingrats, impies, sans cœur, implacables, calomniateurs, sans frein, cruels, ennemis du bien, traîtres, emportés, gonflés d’orgueil, amis du plaisir plus qu’amis de Dieu, sous les dehors de la piété dont ils auront renié le pouvoir ; de ceux-là aussi éloigne-toi ! Pour toi, demeure dans ce que tu as appris et dont tu as acquis la certitude. Tu sais de qui tu le tiens, et que depuis l’enfance, tu connais les Saintes Lettres ; elles peuvent te donner la sagesse qui mène au salut par la foi dans le Christ Jésus (…). Je t’adjure devant Dieu et le Christ Jésus, qui doit juger les vivants et les morts, et par Son Apparition et par Son Règne : prêche la parole, insiste à temps et à contretemps, convaincs, reprends, exhorte en toute patience et avec souci d’enseigner. Car un temps viendra où les hommes ne supporteront plus la sainte Doctrine ; au gré de leurs désirs, l’oreille leur démangeant, ils s’entoureront d’une foule de maîtres, et ils détourneront leurs oreilles de la Vérité pour se retourner vers les fables. Pour toi, use en tout de circonspection, supporte la souffrance, fais œuvre d’évangéliste, remplis pleinement ton ministère. » (2 Tm 3, 1 – 4, 5)
1 Notre Père + 10 Je vous salue Marie + Gloire soit au Père.
Cinquième Mystère Joyeux: Le Recouvrement de Jésus au temple
Fruit du mystère : la recherche de Dieu en toutes choses
Jésus répondit à ses parents : « Ne saviez-vous pas que je dois être chez mon Père ? » (Lc 2,49).
« Si nous voulons témoigner au bon Dieu que nous l’aimons, il faut accomplir sa sainte volonté. Le moyen le plus sûr de connaître la volonté de Dieu, c’est de prier notre bonne Mère. »
Seigneur, par Marie, aide tous ceux qui ont à prendre des décisions importantes à mettre Dieu à la première place.
Facultatif (version avancée)
Rechercher Dieu en toute chose : comment cela est-il possible ?
Tout d’abord, il ne s’agit ni d’identifier Dieu à la nature, ni de se laisser séduire par les théories de certains mouvements qui aiment à parler de Dieu en termes de « force » ou d’ « énergie cosmique ». Il ne s’agit pas davantage de mêler Dieu à l’utilisation outrancière que certains êtres humains font de leur corps et de leur intelligence dans un but égoïste de jouissance, de domination ou de destruction.
« Ces individus, nous dit saint Pierre dans sa Seconde Épître, sont des fontaines sans eau et des nuages chassés par la tempête : les ténèbres les plus épaisses les attendent, car, proférant de grands mots vides de sens, ils promettent la liberté alors qu’eux-mêmes sont esclaves de la corruption. » (2 P 2, 17-19)
Rechercher Dieu en toute chose, c’est Le reconnaître comme Créateur et Maître de l’univers entier, et savoir déceler autour de soi les signes permanents de Sa Toute-Puissance. C’est être admiratif envers les beautés de la nature et ne pas hésiter à utiliser la journée du dimanche, qu’Il nous a donnée comme journée de trêve, pour aller Le retrouver non seulement à l’église, mais aussi hors de nos villes trépidantes dans quelque cadre accueillant et paisible.
Rechercher Dieu en toute chose, c’est encore savoir reconnaître Son Visage en chaque créature humaine, savoir déceler le cœur d’or sous la hideur, la tendresse sous la fermeté, la sagesse sous la simplicité. C’est acquérir de jour en jour un plus grand discernement qui nous permette de fuir les pièges du Tentateur sans tomber dans ceux des apparences trompeuses : c’est savoir lire la sincérité dans le regard du juste, même si son vêtement nous repousse, et la fourberie dans celui du puissant, même s’il nous séduit.
Rechercher Dieu en toute chose, c’est vivre constamment en compagnie de Jésus, prendre sa croix et Le suivre pas à pas, parfois jusqu’au Calvaire, sans un gémissement, sans un murmure… C’est, à l’exemple de Marie, offrir à Dieu, dans un « fiat » de tous les instants, notre vie entière.
Rechercher Dieu en toute chose, c’est croire tout ce qu’Il nous a révélé et qu’Il nous enseigne par Son Église parce qu’Il ne peut ni se tromper, ni nous tromper. C’est croire aux signes qu’Il nous envoie afin de vivifier notre foi ; c’est croire à l’assistance si précieuse de nos saints anges gardiens, dont le Saint-Père rappelle périodiquement l’existence bien réelle. C’est croire à la Communion des Saints, à l’intercession de ces derniers pour nous auprès de Dieu, à la puissance de la prière et au triomphe de l’Amour sur la mort.
Rechercher Dieu en toute chose, c’est enfin nous laisser guider et conduire par Marie, notre bonne Maman, jusqu’à Son Divin Fils. C’est nous confier à Marie en Lui demandant de nous garder purs et fidèles au milieu de la corruption et de la contestation tout au long de notre cheminement terrestre.
1 Notre Père + 10 Je vous salue Marie + Gloire soit au Père.
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Tu veux aller plus loin dans la prière? Essaie le grand chapelet de la Vierge Marie
Source:
https://www.arsnet.org/Chapelet-avec-le-Saint-Cure.html?lang=fr#sommaire_1